Ma petite semaine Web (2023 - semaine 28)

LIENS

♦ "Ta vie de femme est finie, ici commence ta vie de professionnelle de la petite enfance" Par Laurence Rameau. L'horreur absolue. Mais comment confier nos enfants à des gens qui raisonnent ainsi ?!

♦ Bac : Pap Ndiaye veut pénaliser les élèves qui font trop de fautes d'orthographe. Titre inutilement raccoleur pour signaler que ça y est, peut-être bien qu'un ministre s'est ENFIN rendu compte que l'éduc nat fait de la merde en matière d'apprentissage des bases du français ! Alléluiah !! Le truc qui va peut-être coincer, c'est que ça fait environ 40 ans que ça dure, que donc les enseignants recrutés depuis quelques années ont appris comme ça, certains sont même arrivés malgré tout à maîtriser la langue, et du coup ne comprennent pas pourquoi les méthodes sont à revoir de fond en comble, mais vraiment c'est catastrophique. Il y a un boulot considérable à mettre en route, bien avant d'envisager de sanctionner les étudiants, qui sont les victimes d'un système qui a choisi ses méthodes, qui d'ailleurs vont à merveille avec le choix d'utiliser l'école pour reproduire et intensifier les inégalités de classes sociales. Si le dernier ministre en date est sincère dans sa démarche (mais l'est-il ? peut-être, lui dont les enfants sont dans le privé et il sait pourquoi...), il va devoir s'armer d'une sacrée dose de courage et de persévérance pour mettre en place des réformes réellement efficaces ! Restons optimistes.

♦ Insolite. "Phallus de Titan" : le plus grand Arum Titan jamais vu en France a fleuri à Nancy. J'en avais parlé il y a peu de temps, c'était pour tenir au courant. 

IMAGES

C'est tout pour aujourd'hui. Passez une joyeuse désopilante semaine ! =^.^= 

Comments

[petite___fee]

Joyeuse semaine !

[bluetit]

toujours le coup d oeil

merci et bonne semaine aussi

[Christine]

Merci pour cette brassée de sourires.

Je serais peut-être moins sévère avec la thèse du premier article : il s'agit quand même de rappeler qu'il faut être dans une posture professionnelle y compris dans les métiers du soin. Je pousse le raisonnement à l'absurde : qu'un de détestable a droit aussi à des soins de qualité, même si on ne l'aime pas.